Sopwiht F1 "Camel".







"" An unstable mount ""

Maquette Wingnut Wings au 1/32.    Référence : 32 070.




Historique : Les deux premiers paragraphes page 49, de l'Encyclopédie de l'Aviation Mach 1, (Les avions en vol et au combat), aux éditions Atlas, Paris, 1982.

Avions de la 1re Guerre mondiale, numéro hors-série n°1, aux éditions Hachette, 1er trimestre 1979.

La revue MPM, Maquettes Plastique Magazine n°108, aux éditions "Sedit A, 3e trimestre 1980.



Réalisation maquette, diorama et photos de l'ensemble, par mon ami belge, René-Philippe Lieutenant.





Historique : Un pilote expérimenté ne pouvait rêver d'une meilleure monture... On aurait cru qu'on avait une d'ailes attachée aux épaules.

L'avion de chasse britannique le plus célèbre de la première guerre mondiale, et l'un des meilleurs de cette période, a été le Sopwith "Camel" (chameau), un biplan à la maniabilité légendaire (voire excessive), rapide et bien armé. Il fut construit en un nombre énorme d'exemplaires, de 5 490 à 5 695 et plus, selon les sources, et possède avec 1 294 victoires le record du nombre d'avions ennemis abattus par un type donné d'appareil allié.


A son actif, notons la première victoire aérienne remportée de nuit, un bombardier Gotha abattu dans le ciel de Londres le 25 janvier 1918, et la destruction d'un Zeppelin, le L 53, descendu en flammes par le Lt Culley le 10 août de la même année.

Le "Camel" est la fusion harmonieuses des qualités héritées de ses prédécesseurs, les Sopwith Pup, et Triplan, et des spécifications de l'amirauté britannique pour le développement d'un scout (avion rapide de reconnaissance armée) destiné à remplacer les Sopwith "Baby" à flotteurs. Son entrée en service devait rétablir l'équilibre des forces aériennes, compromis par l'arrivée au front des chasseurs allemands de la nouvelle génération D, armés de 2 mitrailleuses, comme l'Albatros D 1, apparu en septembre 1916 et le D II qui l'avait suivi peu après. 

Le Sopwith "Camel" F1 restauré et exposé au Musée de Bruxelles. 

Collection personnelle de M. Alain Bertini.

Le Goyha III de 1916, qui fut remplacé par les bombardiers G.IV puis G.V, dont les escadrilles allemandes furent largement dotées par la suite.

Source: La conquête de l'Air aux éditions Albin Michel 1973.

Le L53 avait quitté son hangar pour un premier raid contre l'Angleterre, au soir du 24 septembre 1917, commandé par le Kapitän-Leutnant de réserve Eduard Proelss. Il effectua vingt-trois sorties de guerre, dont dix-neuf comme appareil d'observation, mais largua également des bombes. Les deux tiers des surfaces du L53 étaient peints en noir, afin de dissimuler autant que possible la présence du géants. Suart Culley parvint à le repérer, et, aux commandes de son "Camel" à la limite du décrochage, tira des balles incendiaires qui provoquèrent une explosion. Les bombes et les gondoles se détachèrent, puis la proue en feu plongea dans la mer. Aucun membre de l'équipage n'échappa à la mort (Photo IWM, Londres).

Source : L'Encyclopédie des Armes aux éditions Atlas, septembre 1989.  

Considéré comme le moins puissant des monoplaces de chasse Sopwith au cours de la Grande Guerre, le Pup n'en fus pas moins très apprécié des pilotes pour ses qualités manœuvrières, supérieures à celles du fameux F.1 "Camel". Cet exemplaire est conservé en état de vol par le Shuttleworth Trust, en Grande-Bretagne (Photo Air Portraits).

Cette fidèle réplique du fameux Triplane de l'as Raymond Collishaw du Squadron 10 du RNAS est actuellement conservée à Thorpe Park (Grande-Bretagne), parmi d'autres appareils de la Première Guerre mondiale, dans un décor réaliste reconstituant un aérodrome du RNAS "quelque part en France" (Photo B. Bombeau).

Un Sopwith "Baby" (Photo P.R. March).

Source des trois photos: L'Encyclopédie de l'Aviation Mach 1, volume 8, aux éditions Atlas 1981. 

Pierre Clerget devant le Morane MS.135 qui est le premier avion français équipé d'un moteur diesel Clerget de 130 ch en étoile.

Source: Chronique de l'Aviation aux éditions Chronique 1991.


"" Le point de vue technique du "Camel"  ""

Sa première version est visiblement inspirée de l'hydravion FS 1 baptisé "Improved Baby", à moteur Clerget de 130 cv avec quelques améliorations. Après la destruction en vol d'essai d'un des prototypes en mars 1917, le constructeur s'orienta vers une configuration d'avion terrestre, même pour la version embarquée 2F 1. Aucune suite ne semble avoir été donnée au projet d'hydravion.

Les exemplaires de série auraient dû avoir le même dièdre des plans supérieur et inférieur mais pour accélérer la cadence de production, la décision fut prise d'adopter une aile supérieure monobloc et d'accroître par compensation le dièdre de l'aile inférieure. En fait, un seul des prototypes reçut un plan supérieur monobloc, et la série fut équipée d'ailes assemblées en trois sections comme dans le projet initial, mais sans dièdre pour les sections extérieurs. 

La configuration de l'appareil était extrêmement compacte, ce qui contribuait à son extrême maniabilité, au même titre que les dimensions généreuses de l'empennage et que la présence de quatre ailerons (un sur chacune des demi-ailes). Venait s'y ajouter la force du couple engendré par le puissant moteur rotatif, qui se traduisait par une extrême propension au virage à gauche, redoutable surprise pour les débutants non avertis. Cette caractéristique plutôt défavorable était mise à profit par certains pilotes qui préféraient, pour virer de 90° vers la droite, effectuer plus rapidement un virage à 270° par la gauche. Bien entendu, les seuls pilotes à tirer le maximum de toutes les caractéristiques -- même négatives -- de la machine étaient des hommes capables de faire véritablement corps avec elle. Ceux qui n'y parvenaient pas le payaient cher, et si le "Camel" a fait des ravages chez les Allemands, il en fit aussi dans l'aviation britannique, car sa tendance marquée à l'instabilité ne pardonnait que rarement les fautes. Aussi la réputation mondiale du "Camel" était-elle en partie due à la très grande classe des pilotes qui réussissaient à le maîtriser. 

Deux Sopwith 2F.1 "Camel" basés à Turnhouse pour la défense de Londres (Photo Orbis).

Source: L'Encyclopédie des Armes, volume 2, aux éditions Atlas 1984.


Source des plans: La revue MPM, Maquettes Plastique Magazine n°108 de septembre 1980.


La cellule était entièrement construite en bois revêtu de toile, sauf juste derrière le moteur où le revêtement était fait de feuilles d'aluminium, et sur les flancs de l'habitacle et sur le dos du fuselage où il était en contre-plaqué. En outre, les bords de fuite et les extrémités des ailes étaient armés de tube d'acier.
Les mitrailleuses du "Camel" étaient montées tout près l'une de l'autre au-dessus du moteur et leurs culasses étaient surmontées de cette bosse qui fit donner à ca Sopwith le surnom qui allait devenir son appellation, officielle. C'étaient deux Vickers de 7,7 mm alimentées par bandes et synchronisées pour le tir à travers le disque de l'hélice.
En combat de nuit, les flammes des départs gênaient énormément les pilotes, qu'elles aveuglaient littéralement. Pour y remédier, la plupart des appareils affectés à la défense aérienne (Home defense) furent modifiés par décalage vers l'arrière de l'habitacle du pilote. Le réservoir principal de carburant fut replacé juste devant lui et des Lewis furent substituées aux Vickers. Montées sur support basculant Foster, ces armes permettaient le tir par dessus le plan supérieur de l'avion.
Certains pilotes préférèrent une solution de compromis avec une Vickers à tir synchroniséet une Lewis montée sur affût basculant pour permettre le changement du tambour de 47 cartouches Cette formule fut retenue sur la version 2F.1.
Le "Camel" connut aussi un développement expérimental intéressant dans sa version TF.1 (pour Trench Fighter, littéralement chasseur des tranchées), l'ancêtre du chasseur-bombardier. C'était un F 1 armé de 3 mitrailleuses Liwis, l'une à l'emplacement classique au-dessus du plan supérieur et les deux autres montées obliquement sur le plancher du fuselage pour permettre le tir sur les tranchées en effectuant des passes à basse altitude. En prévision des réactions de l'ennemi, le pilote et les réservoirs d'essence étaient protégés par un blindage d'acier de 11 mm d'épaisseur placé sous le ventre de l'avion. Un seul appareil fut ainsi modifié et l'on préféra passer directement à la version TF.2 (qui donna naissance par la suite au Salamander). Ce dernier fut utilisé très efficacement pour l'appui rapproché des forces terrestres, même avec son seul armement frontal. 
Les "Camel" furent équipés en majorité de moteurs français : le Clerget rotatif à 9 cylindres de 130 à 140 cv et le Rhône de 110 cv, monté notamment sur les avions de chasse de nuit. D'autres reçurent le moteur anglais Bentley BR.1 de 150 cv, excellent moteur très sûr, mais qui ne fut jamais fabriqué en nombre suffisant.   

Doté d'un moteur Gnome Monosoupape et dépourvu de mitrailleuses Vickers de capot, cet appareil, sans doute le B9278, construit par la société Boulton Paul, allait donner naissance au chasseur de tranchées TF.1, mis au point pour l'attaque des positions allemandes de première ligne.

Source: L'Encyclopédie de l'Aviation n°102 aux éditions Atlas 1984.

Dessin du prototype du TF.1 d'attaque au sol; les mitrailleuses sont dessinées en ocre, le blindage en bleu et les zones ombrées indiquent les éléments à protéger.

Source: Avions de la 1re Guerre Mondiale, hors-série n°1, aux éditions Hachette 1979.


"" L'utilisation du "Camel" ""

Sur les 4 188 "Camel" entrés en service, 1 379 furent affectés aux écoles de chasse et certains transformés en biplaces d'entraînement à partir de l'automne 1918. Sur cette version, l'emplacement du second habitacle était celui du poste de pilotage des chasseurs de nuit, le réservoir de carburant était plus petit et l'armement supprimé.

Le "Camel" arriva sur le front en juillet 1917. Le Squadron n°70 fut la première unité à en être dotée, bien d'autres suivirent en Angleterre et sur le continent.

L'une d'entre elles fut détachée en Italie après la défaite de Caporetto. Les premiers avions atterrirent à Milan le 12 novembre 1917. Ce fut sur ce front que le pilote anglais Alan Jerrard obtint la seule Victoria Cross jamais décernée à un pilote de "Camel". D'autres unités servirent en mer Égée, en Macédoine et, de 1918 à 1920, en Russie.

La version navale du "Camel" était généralement catapultée depuis les tourelles des navires de bataille et des croiseurs, ou du pont des navires lance-aéronefs et des premiers porte-avions. Elle décollait même à partir de pontons remorqués par des contre-torpilleurs. Le "Camel" servit dans les forces aériennes britanniques, américaines et belges. Il fut aussi piloté par des Russes blancs, des Polonais et des Grecs. La version 2F.1 servit aussi hors d'Angleterre. Quelques exemplaires en furent achetés par le Canada qui les conserva jusqu'en 1929, d'autres formèrent le noyau des forces aériennesd'Estonie et de Lithuanie. Cet avion a enfin exercé une influence certaine sur les constructeurs japonais car, après la guerre, Herbert Smith se rendit au Japon pour aider à réaliser les premiers avions commandés par la Marine impériale à Mitsubishi. La victoire la plus célèbre -- la plus controversée aussi -- au palmarès du "Camel" est elle attribuée au Captain A.R. Brown, un canadien du 209e squadron, qui déclara avoir abattu en combat Von Richthofen, le légendaire "Baron Rouge".   

Le "Camel" 2F.1 fut le premier avion de chasse britannique embarqué. Cet exemplaire, équipé d'une mitrailleuse Lewis sur le plan supérieur, est en train de décoller du porte-avion HMS Pegasus.
Source: Avions de chasse aux éditions Parragon Books Ltd 2006.

Dans le cadre d'un programme visant à doter les dirigeables britanniques de leurs moyens de défense propres, deux F.A "Camel" (N6622 et N6814) subirent des modifications qui permirent au Squadron 212 d'effectuer des essais à partir du R.23. Le premier largage fut accompli par le Lieutenant Keys.

Source: La revue l'Encyclopédie de l'Aviation n°102 aux éditions Atlas 1984.



Source des trois dessins: Avions 1re Guerre mondiale hors-série n°1, aux éditions Hachette 1979.


Présent  partout, on verra les "Camel" F1 sur le front Ouest dans les squadrons 28, 43, 45, 46, 54, 65, 70, 71, 73, 80. Le 71e sq. devenant plus tard le 4e sq. Australian Flying Corps. Dans les squadrons RNAS numéros 1, 3, 4, 8, 9, 10 et 12 (rebaptisés 201, 203 etc sq. RAF), dans les Aéro Sq. de l'USAS numéros 17, 41, 148 et 185. Probablement une quarantaine d'avions furent envoyés en Belgique et servirent dans les 1re, 4e, 6e et 11e escadrilles de l'Aviation militaire belge. En Italie, on retrouvera les sq. du RFC numéros 28, 45, 66 et 139, avec le Major W.G. Barker.
La Home Défense sera assurée par les sq. RNAS numéros 37, 44, 50, 61, 78, 112, 143, 212 et 273.
Autres théâtres d'opérations dans le bassin méditerranéen, en Macédoine et en Mésopotamie.
Après l'armistice sur le front de l'Ouest, les forces britanniques restaient actives en Russie pour soutenir les Russes Blancs contre les Soviétiques et les 47e et 221e sq. de la RAF y furent envoyés. Après le retrait des forces britanniques de ce secteur, on vit encore des "Camel" combattre aux côtés des Polonais en conflit avec les Soviétiques. Ils entrèrent en action en 1920, pendant la bataille de Varsovie, arborant l'insigne national polonais.
Quelques "Camel" furent versés à l'escadrille des volontaires Américains, l'Eskadra Kosciuszkowska.
On peut encore citer la présence, sur le front nord de la Russie, de "Camel" 2F.1 du HMS "Vindictive" aux mains de pilotes Estoniens. Au moins trois 2F.1 du "Vindictive" furent donnés à la Lettonie qui en reçut encore une dizaine, affectés au Régiment d'Aviation letton déjà équipé de Nieuport et de Sopwith 1 1/2"Strutters", à Riga en 1921. Ces appareils servirent jusqu'en 1927.
Nous terminerons ce bref état de service des "Camel" sans omettre le N 7367; un 2F.1 encore en service au Canada en 1928.
Au palmarès des Sopwith "Camel", une liste impressionnante de combats aériens se soldant par un record : 1 294 appreils ennemis abattus. On leur attribue aussi le premier combat aérien de nuit au cours duquel un bombardier Gotha fut abattu dans le ciel de Londres, le 25 janvier 1918; le 10 août de la même année, le Lieutenant S.D. Culley fut le premier pilote qui abattit un dirigeable; le Zeppelin L 53... Et puis, bien qu'encore controversée de nos jours, la plus grande victoire attibuée à un Sopwith "Camel" fut le combat qui opposa le Capitaine A.R. Brown au Rittmeister M. von Richthofen, le 21 avril 1918 et au cours duquel le "Baron Rouge" trouva la mort.

""Les versions du Sopwith "Camel" ""

F.1 : Prototypes; F.1 avec moteur Clerget 9Z; F.1/1 avec voilure effilée.
F.1/2 : Configuration exacte incertaine; F.1/3 avec moteur Clerget 9B. Le Rhône 9J, puis le Clerget de 130 ch.
F.1 : Prototypes pour l'Amirauté britannique (N417 et N518); moteur rotatifs.
F.1 : Version de série, à moteur Clerget de 110 ou 130 ch, le Rhône de 110 ch, BR.1 de 150 ch ou encore Gnome Monosoupape de 100 ch; quelques exemplaires transformés en biplaces d'entraînement.
TF.1 : Chasseur de tranchées expérimental; 1 exemplaire (C57) construit par Nieuport et General, armé de 3 mitrailleuses.
2F.1 : Chasseur embarqué produit en série; le plus souvent équipé du moteur BR.1 et armé de 1 mitrailleuse Lewis et de 1 Vickers; quelques appareils équipés pour recevoir 2 bombes de 23 kg; 2 exemplaires (N6622 et N6814) équipés pour essais à bord du dirigeable R 23.

"" Caractéristiques du "Camel" moteur Clerget ""

Type : Monoplace de chasse.
Moteur : 1 Clerget rotatif de 9 cylindres de 130 ch (97 kW).
Performances : Vitesse maximale au niveau de la mer, 188 km/h; temps de montée à 3 050 m, 10 mn 35 s; plafond pratique, 5 800 m; autonomie, 2 h 30 mn.
Poids : A vide, 420 kg; maximal au décollage, 660 kg.
Dimensions : Envergure, 8,53 m; longueur, 5,72 m; hauteur, 2,60 m; surface alaire, 21,46 m².
Armement : 2 mitrailleuses synchronisées Vickers de 7,7 mm tirant à travers le champ de l'hélice; possibilité d'accrocher 4 bombes de 11 kg sous le fuselage.         

Une photo d'époque montrant un "Camel" au sommet d'une boucle. L'avion était centré très en arrière, et répondait à la moindre traction sur le manche, qu'il fallait constamment pousser pour voler en palier. Les tonneaux étaient également faciles à effectuer, en raison du puissant couple du moteu. Comme sur bien des avions de l'époque, les performances à haute altitude étaient ternes. C'est vers 3 500 m qu'elles étaient les meilleures;
Source: Mach 1, les avions en vol et au combat, aux éditions Atlas 1982.


 
Dessin de la planche de bord du Sopwith "Camel" surmontée des culasses des deux mitrailleuses de 7,7 mm.
Source: L'univers des avions 1848/1939, aux éditions Gründ 2005.

Les "Strutter" construits sous licence furent utilisés principalement comme avions de corps d'armée sous la désignation Sop-1 B2. Ici, le n°185 de la Sop.107, formée en juin 1917; cet appareil finira sa carrière à l'issue d'un atterrissage forcé en territoire ennemi (photo Coll. J.M. Lefebvre).
Source: L'Encyclopédie de l'Aviation Mach 1, aux éditions Atlas, Paris, 1981.


"" La construction de la maquette en photos ""

La boite Wingnut Wings, collection René-Philippe Lieutenant.



Préparation des pièces.

La peinture à l'intérieur du fuselage.

René-Philippe dans son montage a prévu pour deux "Camel".




Un travail de professionnel, quelle patience pour réaliser cette maquette.

Les mitrailleuses et le moteur Clerget.


Le fuselage pratiquement terminé.



Le matériel et préparation des ailes.





Les décalques fait maison.

Les haubanages.


"" La maquette fini, un trésor de détails ""












René-Philippe / Jean-Marie




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