Le L.M. Thuda "XYZ" M-412.
"" Un ingénieur héros de la voltige ""
Historique : La revue Aviation Magazine International n°655 d'avril 1975.
Une enquête de Jacques Lecarme.
J'ai rectifié (d'après ma doc) quelques éléments Jacques.
Historique : La revue Aviation Magazine International n°655 d'avril 1975.
Une enquête de Jacques Lecarme.
J'ai rectifié (d'après ma doc) quelques éléments Jacques.
Historique : On sait que la voltige moderne a suscité et suscite encore bien des polémiques. Les avions de voltige doivent-ils être monoplans ? Biplans ?. Les sièges doivent-ils être disposés en tandem ? ou côte à côte ?. Les figures de voltige doivent'elles sacrifier à l'art ou au muscle ?. Comment noter les figures en compétition ,. Autant de controverses et nous en passons.
Pour résoudre une partie de ces problèmes, le professeur-ingénieur docteur L.M. Thuda ( de l'université de Gröfeldesz) dont nos lecteurs ont découverts les travaux il y a quelques sept années, a travaillé dans son austère solitude pendant de long mois. Modeste, affecté de ce doute permanent qui caractérise les grands esprits scientifiques, le professeur Thuda est donc, par nature, peu porté à révéler le fruit de ses réflexions; et il a fallu qu'intervienne l'amitié qu'il porte à "Aviation Magazine" (et que nous lui rendons bien) pour qu'il consente, de nouveau, à sortir de sa réserve.
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| Doc. Ing. L.M. Tudha. |
La voltige classique, crée et enseignée de 1930 à 1940, est regrettée par les attardés qui l'ont connue. Elle consistait à enchaîner, sans rupture de rythme, des figures en nombre faible. Le résultat était jugé sur des critères d'esthétiques non chiffrables. C'était une méta-voltige, philosophique, comme ceux qui la pratiquaient. Les meilleurs furent un cavalier, un poète, un moine. Et pour eux, la voltige était haute école, symphonie, prière...
Les avions à réaction sont venus et ont travaillé sus ce thème; mais les dimensions du cadre ayant terriblement augmenté, le temps pris par quelques unes de ces figures au rythme lent et bien coulé, devient excessif. Les juges ne sont pas utilisés rationnellement. La compétition a éliminé ces avions.
Le "dictionnaire" a changé tout cela. Rentrant dans la réalité, les figures ont été décomposées en leurs éléments simples. A chacun de ces atomes d'évolution, a été affecté, axiomatiquement, par ordre, un coefficient. Le corps de ces coefficients n'étant pas tout à fait additif, on y a ajouté des coefficients de couplage de certains atomes, pour y parvenir.
Appliquant aux sous-ensembles ainsi cotés les principes de l'analyse combinatoire, on a pu chiffrer tout le possible, définitivement.
La capacité d'observation du juge, flanqué de deux assistants, ne peut dépasser cinq minutes. Il faut aussi éviter, pour eux, les rotations en Y et Z de leurs vertèbres cervicales. On a donc fixé le cadre rectangulaire dont le voltigeur ne doit pas sortir, le tout vérifié au cinéthéodolite.
Les participants à ce noble jeu ont alors à cumuler, dans les cinq minutes imparties, le nombre maximal de points qui peut être obtenu au moyen du "dictionnaire axiomatique". Leur art est vite devenu une technique précise. Et il a fallu trouver des avions, voire, en créer, pour y parvenir.
Le fameux avion de voltige du professeur, ingénieur, docteur L.M. Thuda. Il n'a été autorisé à Aviation Magazine que de mettre sur cette revue qu'un dessin, normal, mais le professeur a pris acte et devrait satisfaire les lecteurs d'Aviation Magazine avec de belles photos en couleur, moi j'y crois encore, nous sommes en 2019.
Le problème est d'accumuler le maximum de rotations, continues ou déclenchées par 1/4 et 1/8 de tour, tout au long des vieilles évolutions, virages ou boucles, directes ou inverses. Pour demeurer dans le cadre, il faut des avions très petits, bien voilés, puissants, à rotations rapide en x.
Le professeur (ingénieur et docteur) M.L. Thuda, de l'Université de Grönfeldesz, pratiquant la voltige comme la dialectique, en déduisit la synthèse, issue des contradictions de l'avion classique (type Louis Blériot IX : un moteur, une aile, un pilote, une queue).
Pour pouvoir combiner les rotations, continues ou hachées par facettes, autour des trois axes propres de l'avion XY et Z, avec les rotations autour des trois axes XY et Z, liées au terrain local, il fallait une idée.
Une idée négligeant les rotations propres du terrain, de vitesses angulaires ridicules (un tour/jour par rapport au soleil, un tour/an par rapport à la Galaxie, un tour 250 - 106 ans par rapport au système local) (Voilà pourquoi nous en sommes arrivée à l'heure d'été bien avant l'heure, merci à cet ingénieur qui nous a permis de satisfaire nos besoins dans la voltige et aussi pouvoir rester longtemps le soir tard à regarder les étoiles devant un un apéro)...
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| L'ing. diplo. Pfattspein. |
La conclusion jaillit un matin dans l'esprit de M.L. Tudha, tandis qu'il communiquait à son café une rotation en Z, avant de le siroter.
"" Il faut et il suffit que mon avion soit isotrope "".
Cet éclair de génie ayant fulguré, il ne restait qu'à calculé et dessiné. Ce fut l'oeuvre de l'ingénieur diplômé Pflattspein (de l'université de Vaduszgrad), fidèle disciple du maître à penser. L'avion de révolution était né.
Car si l'on veut que les figures aient un degré de symétrie complet, il faut que l'avion soit li aussi symétrique au même degré suivant la loi de curie.
"" Description de cet avion de voltige ""
Fuselage : Côtes dimensionnelles du planeur "Foka", diamètre 80 cm au mètre couple. La calotte avant, entièrement transparente, coulisse vers l'avant pour l'entrée; la visibilité est intégrale. La position couchée permet d'encaisser les facteurs de charge.
Moteur : De révolution; c'est un Wankel-Mazda (à l'origine de nos piles actuelles) de 200 ch à deux rotor. Il entraîne par coupleur Flexydine, (l'inventeur du flexible, bien utile de notre temps), un arbre de transmission. A la pointe arrière, un variateur à billes permet, à régime constant du moteur, de commander la poussée d'hélice à toute valeur positive ou négative (brevet 45.496.007 Vaduszgrad, mais jamais sorti, secret défense)..........
Qui a vu dans le ciel ce formidable planeur de voltige dans le ciel, lui L.M. Thuda.
Un grand merci à la revue Aviation Magazine de sortir des sentiers battus et nous montrer l'évolution de l'aviation des années 70/80. Sans Jacques Lecarme (pilote d'essai français) M. P..ss.. et moi-même n'aurions pu mettre pareil article d'avril 2019.
Jean - Marie






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