La bataille de Koursk / Le char lourd soviétique KV-1 modèle 42.







"" La plus grande bataille de chars de l'histoire ""
                                                                                                                     Char radio-commandé au 1/16.  Marque Hen Long.




Historique Connaissance de l'histoire n°41, pour la Bataille de Koursk.
Le site webWikipédia.org pour l'historique du char KV-1 modèle 42.



Réalisation du modèle par Gunner Vogt.



Avant-propos: Les armées allemandes en Russie étaient prêtes à une offensive en masse pour renverser la situation après le désastre de Stalingrad. Les meilleures divisions de la Wehrmacht et des Waffen S.S. étaient rassemblées en une énorme concentration d'hommes et de blindés. Équipées des chars les plus modernes, animées d'un moral élevé, elles pensaient être invincibles.
"Chaque fois que je pense à cette attaque,disait Hitler, j'ai la nausée". Cette nausée était explicable. Car pour l'heure, en ce printemps de 1943, lui est ses généraux savaient que seule une victoire décisive sur l'Armée rouge pourrait diminuer la pression persistante et menaçante exercée sur le front de l'Est;

L'U.R.S.S. disposait d'un nombre croissant d'avions et d'équipages. D'autre part, la menace d'un second front obligeait de nombreuses divisions allemandes à demeurer en Europe, réduisant ainsi la possibilité de toute opération de grande envergure sur le front russe.
C'est alors qu'en mars survint pour le groupe d'armées Sud la grande victoire du maréchal von Manstein à Kharkov et il sembla un moment que la marée se renversait. Mais cet espoir fut vite abandonné. La victoire allemande était incomplète. Un important saillant tenu par les Russes subsistait: une poche à peu près semi- circulaire s'enfonçait de quelque 120 kilomètres à l'ouest dans les lignes allemandes à Koursk, et dont la base mesurait plus de 160 kilomètres du nord au sud.
On disait qu'il y avait un million d'hommes dans ce saillant. De toute évidence, un mouvement en tenaille lancé sur la base du saillant devait isoler et détruire les forces qu'il renfermait et affaiblir considérablement la puissance de l'armée soviétique dans son ensemble, aussi von Manstein prépara-t-il ce mouvement pour consolider sa victoire.
Cependant, comme bien souvent auparavant, le temps s'en mêla. Le dégel du printemps transforma en boue les pistes de terre de terre gelée, les rivières grossirent, des marécages se formèrent; les villages en ruines se reflétaient dans la désolation des crues.
Von Manstein ne pouvait rien faire d'autre que de replier ses blindés pour qu'ils ne s'embourbent pas, et de laisser le terrain sous la garde de l'infanterie pendant qu'un plan était élaboré. Mais il y avait un hic: plus longtemps les Allemands resteraient en position purement défensive, plus vite les Soviétiques tenteraient d'élargir le saillant et de percer complètement le front allemand.   
 Un char KV-1 dans un musée près de Kirovsk. Source: Wikimedia Commons la médiathèque libre.
Licence: Creative Commons Attribution-Share Alike 3-0 Unported.


Au moment où une action rapide aurait pu réussir, les Allemands hésitèrent: Hitler changea d'idée; ses généraux se querellèrent. Il y eut des interprétations contradictoires des exigences de la situation en Europe. Même la promesse d'une nouvelle attaque sur le Don et d'une poussée vers Moscou après la réduction du saillant ne put amener le Führer à ce décider.
Les chars et les autres armes lourdes d'assaut, en particulier les Tigre et les Panther, n'avaient pas été livrés à l'armée en nombre espéré. Ce fut seulement le 11 avril qu'un semblant de plan fut élaboré; c'était pour l'essentiel le plan que von Manstein n'avait pu exécuter après Kharkov: un plan évident, dont l'évidence s'imposa également aux Soviétiques qui se hâtèrent d'améliorer leurs défenses autour de Koursk. Toute chance de surprise avait disparu. A présent, l'unique solution pour vaincre était de lancer un assaut si terrifiant qu'aucun défenseur ne pourrait lui résister.
Le Tigre 1 du musée des blindés de Saumur, la photo montre une vue de 3/4 arrière gauche.
Source: La revue ABM Magazine n°2 de juin 1990.
Des hommes de la division blindée Gross Deutschland avancent à l'abri d'un Panther sur le front russe.
Source: Connaissance de l'histoire n°44 de mars 1982.


Une telle attaque impliquait l'engagement de beaucoup de blindés que les Allemands ne pouvait se permettre de perdre; et si l'appui de l'infanterie était à prévoir pour les chars, il signifiait également un affaiblissement imprudent du front au nord et au sud du saillant.
Hitler restait indécis. D'autre part il y avait les opinions divergentes de ses conseillers sur la possibilité d'un succès. Le maréchal von Kluge, commandant du groupe d'armées centre et les généraux Keitel et Zeitzler de l'état major de l'armée de Terre étaient pour. Mais Guderian, inspecteur général des troupes blindées et, à l'époque, von Manstein lui-même étaient farouchement contre.
D'autre part, il y avait l'assurance de Speer, le ministre de la Production, que les chars nécessaires seraient disponibles; et la certitude que, faute d'une offensive allemande, tout le poids des forces soviétiques viendrait écraser la Wehrmacht étalée sur un front beaucoup trop grand.
Tandis qu'Hitler hésitait, le général Vatutin et l'Armée rouge poursuivaient la préparation non seulement de défenses aussi impénétrables que possible, mais aussi d'une contre-attaque de grande envergure. La nouvelle parvint jusqu'à Hitler par les rapports des services de renseignement et les photographies aériennes indiquant le repli des forces mobiles russes de la zone à l'ouest de Koursk pour se préparer manifestement à une contre-attaque.
Mais le 10 mai, Hitler donna enfin son accord; on baptisa l'opération "Zitadelle".
Le Führer insista sur son manque d'enthousiasme: "L'opération ne doit pas échouer" se contentait-il de dire. 
Les forces en présence. Source: Connaissance de l'histoire n°41 de décembre 1981.
Les généraux qui combattirent à Koursk. Source: Connaissance de l'histoire n°41 de décembre 1981.


"" L'Armée rouge victorieuse ""
Les yeux hagards de ce sous-officier allemand, appartenant à la division Gross Deutschland, montrent bien la tension du combat. Au bord de l'épuisement, il étudie avec son camarade un plan tactique en préparation pour le prochain déplacement au cours de la bataille de Koursk. Son uniforme porte les rubans des campagnes précédentes.
Source: Connaissance de l'histoire n°41 de décembre 1981.
Un coup raté de peu alors que les servants d'un canon antichar russe attendent les blindés allemands à Koursk, le canon de 45 mm ne devait pas percer le blindage des Panzer: le but était de paralyser les chars en endommageant les chenilles, les obligeant à s'arrêter. Les chars et l'infanterie russes attaquaient alors ces objectifs statiques.
Source: Connaissance de l'histoire n°41 de décembre 1981.
Pointe blindée fonçant en terrain ouvert en direction des lignes russes, lors de la bataille de Koursk.
Source: Collection documents Hachette. Les blindés 1939 - 1945.


"" Le char lourd soviétique KV-1 modèle 42 ""
Histoire: Sa genèse commença lors d'une visite par des étudiants ingénieurs au bureau SKB-2 de l'usine de chars Kirov à Léningrad, en octobre 1938. Le prototype du char lourd bi-tourelle SMK (pour Sergeï Mironovich Kirov) y était dessiné et, à leur sortie, on leur demanda d'étudier une variante mono-tourelle. Ils y travaillèrent, résolvant par exemple les problèmes de boite de vitesse par l'étude du char tchèque S-2a en test à Koubinka, près de Moscou.
Le projet semblant prometteur, le ministre de la guerre autorisa son développement en parallèle du SMK, le 27 février 1940, sous la désignation KV (Kliment Vorochilov, ministre de la guerre de l'époque) et le 1er septembre, le prototype était en test, armé de deux canons coaxiaux, un de 76,2 mm et un de 45 mm. Il séjourna à Moscou, du 5 septembre au 8 octobre pour des tests gouvernementaux.
La guerre d'hiver contre la Finlande ayant éclaté, les essais opérationnels furent menés directement sur le front, le SMK, le KV et le T-100, un autre dérivé bi-tourelle, furent intégrés dans le 91e bataillon blindé de la 20e brigade de chars lourds. Le KV, qu'on avait modifié pour le remplacement du canon de 45 mm par deux mitrailleuses, une coaxiale et une à l'arrière de la tourelle, s'y révéla nettement supérieur et le 19 décembre, il était accepté dans l'Armée rouge. Un plan de production de 50 puis 200 exemplaires fut lancé, pendant qu'on éliminait les défauts de jeunesse, au niveau de la transmission et des trains de roulement, révélés par un galop d'essai de 2 648 km en mai.
A la fin de l'année on substitua au canon L-11, un F-32 bénéficiant d'une plus grande vitesse à la bouche, et au V-2, un un V-2k de 600 chevaux, donnant naissance au modèle 1940. En même temps, une version, dites à grande tourelle, armée d'un obusier de 152 mm raccourci fut étudiée puis mise en production comme le KV-2. Peu de temps après le début de l'invasion allemande, on ajouta des plaques de blindage supplémentaires boulonnées sur l'existant donnant ainsi, le KV-1e (e, pour "ekranirovaniy" avec boucliers).
En juillet, apparut le modèle 1941, avec son canon ZIS-5 encore plus long, monté dans une nouvelle tourelle soudée mieux blindée. A l'automne, la perte de contraignit à adopter le moteur à essence M17T sur une centaine d'exemplaires.
Le KV-1 a été produit en masse, de mars 1940 à août 1942, avec un total de 2769 exemplaires, car son efficacité a contribué de nombreuses victoires contre le Troisième Reich. Plusieurs améliorations lui seront apportés pour le rendre plus rapide et augmenter son blindage. Par la suite, plusieurs autres chars plus avancés feront leur apparition (les KV-1s, T-150, KV-2 et d'autres modèles). On retrouve encore aujourd'hui des KV-1 dans les lits des rivières. Au printemps 2003, un de ces chars a été retrouvé dans la Neva près de Saint-Pétersbourg.  
Premiers des nouveaux chars lourds de l'Armée Rouge, c'était un engin très blindé se caractérisant par une mitrailleuse de tourelle tirant vers l'arrière.
Source: Collection documents Hachette. Les blindés de 1939 - 1945.



Le KV-1 modèle 42: En décembre 1941, l'usine n°200 proposa une nouvelle tourelle moulée semblable à celle du KV-1 modèle 1941, mais renforcée avec un blindage atteignant désormais 120 mm. Cependant grâce à une bonne répartition du blindage, la masse n'en était pas augmentée. La nouvelle tourelle était protégée par un anneau plus large et la mitrailleuse arrière possédait un collier de blindage.La plage arrière fut remplacée par une plaque de blindage plate bien plus facile à fabriquer, et le blindage maximum de la caisse passa à 110 mm. Cette augmentation du blindage surcharge les galets et un nouveau modèle moulé à "ailettes", plus résistant (mais aussi plus économique), fut donc conçu pour compenser.

"" Caractéristiques générales du KV-1 ""
Équipage: 5 personnes.
Longueur: 6,68 m.
Largeur: 3,32 m.
Hauteur: 2,71 m.
Masse au combat: 46 tonnes.
Armement
Armement principal: ZiS-5 76 mm (ou 122 mm U-11 selon le but de la fabrication).
Armement secondaire: 4 mitrailleuses DT de 7,62 mm (3024 coups).
Mobilité
Moteur: M-17L (450 chevaux).
Puissance: 450 ch.
Suspension: Barre de torsion: KV-1 modèle 1940, charge maximale: 47,8 tonnes.
Vitesse sur route: 35 km/h (16 en tout terrain).
Puissance massique: 12,6 ch/tonne.
Autonomie: 150 km.
 Un KV-1C du Musées des Armées de Moscou.   Source: Histoire et Maquettiste n°24 de janv.-fév. 1993.


"" La réalisation de Gunner sur une base Hen Long ""


Ce char avait été fait pour le 70ième anniversaire de la bataille de Koursk, écrits et photos de Gunner Vogt. 

Hello les Amis



Donc pour fêter le 70ième anniversaire de la bataille de Koursk, qui est passé bien inaperçu dans tous les médias et forums, je vais faire un KV-1 modèle 1942, modèle encore présent durant cette bataille. 

Je vais donc le faire sur ma base du KV-1 de chez Hen Long. 

-Tomber le surblindage boulonné du char et reboucher les trous. 

-Tomber le surblindage soudé de caisse et le remplacer par le spécifique à ma version en PVC expansé sur base de mes vieux plans qui servis a faire mon modèle statique en carton il y à 6 ans. 

-Remplacer le très court et laid canon F-32 par le plus beau, long et efficace F-34/ ZIS-5 

-Découper l'arrondie du Q pour le rendre plat et oblique. 

-L'adapter au châssis métal et lui chausser le train de roulement tardif. 

-Mettre une mitrailleuse antiaérienne (peut être). 

-Lui mettre un AGS (anti georges systeme) pour la stabilité latérale armea 22. 

-Enlever ces très laids et archaïques coffres latéraux et boucher les trous 

-Scratcher une boite a outil et un tableau de bord. 

-Remplacer certaines fixations de garde boue qui doivent être pleines et non évidée... 

-Petit aperçu du modèle au 1/35 avec des photos du kit Eduard de la photodécoupe pour le kit Trumpeter. 


La liste du matériel pour effectuer la transformation
Le char KV-1 de la marque Hen Long.
Un châssis métal avec train de roulement tardif.
Un tube de profilé aluminium de diamètre 8 mm (avec du 6 mm de diamètre pour le trou).
Un plan à l'échelle pile-poil aux côtes.
De la documentation sur les chars soviétiques de la Seconde guerre Mondiale.
Une planche de PVC expansé de 2 mm d'épaisseur.
Une pochette de trois feuilles de Styrène Evergreen de 0,4 mm d'épaisseur.
Un rouleau de grillage d'art déco très fin et malléable.
Une planche de décalque vierge pour imprimante jet d'encre couleur.
Une planche de décalque avec étoiles rouge et chiffres en cyrillique provenant d'une planche pour avion russe.
Deux flacons de vert russe de la marque Prince August.
   Les éléments enlevés sur le char de la marque Hen Long.


Après avoir regardé le web et mes documents, je vais modifier ma tourelle. Le modèle 42 qui avait une tourelle soudée, avait le modèle 41 simplifié et renforcé, c'est à dire, la base de tourelle a disparu, remplacé par un bord droit. Donc le PVC expansé va venir à mon secours, en refaisant les flancs et base de la tourelle, sur ceux existant, car cette tourelle était plus massive car renforcée. 
La tourelle modèle 42.     Source: Collection de Gunner Vogt. 
Voilà la tourelle, quelques détails de plus et elle sera fini.
Derniers travaux en date sur la tourelle dite "simplifiée" (J'ai un point de vue légèrement différent sur le simplifié...)
Les tenons et mortaises d'assemblage du blindage (comme sur les chars allemands, spécifiques à cette tourelle): Creusé dans le PVC expansé sur les flancs et l'arrière, et ajoutés sur le toit avec du styrène en 0,4 mm, recul des épiscopes arrières.

Oui! les copains, mes fidèles, la documentation et indispensable, pour moi c'est toujours le revue TNT et Batailles et Blindés, plus la recherche sur internet. Je vais avoir bientôt la documentation Trumpeter de Papys (papa) au 1/35. Ils sont si bons chez Trumpeter que leur triptyque et leur maquette m'avait permis de faire le plan de celui-ci.
Après la sortie du modèle au 1/16 radio-commandé de chez Hen Long et Tamiya, mes côtes n'ont même pas 0,5 mm d'écart. La suite: Fin de tourelle (fentes de vision latérales et tapes de tir) et début de la caisse avec comblage des trous dans les flancs.  
Dernières avancées:
- Blindage frontale spécifique au modèle 42 (plus haut) refais.
- Chemisage des gardes-boues à la feuille de styrène en 0,4 mm, c'est hyper fin.
- Remplissage de deux support de garde-boue de chaque côté.
- Installation de la plaque de blindage oblique à l'arrière. 
La suite: Le blindage de protection du chemin de roulement de la tourelle, et le bouchage de ses trucs, cavités de mer... là qui n'ont rien a y faire... 

Pour l'armement, je vais opter pour un 57 mm à haute vitesse initiale, le Zis 4m... quitte à faire un KV différent autant qu'il soit jusqu'au bout.
Il a équipé sous sa première version en 41/42 quelque centaine de T-34 (appelés T-34/57) utilisés en chasseurs de chars avec quelques beaux succès, cependant le prix élevé du canon, les contraintes mécaniques qui réduisait la durée de vie du fût anormalement,les munitions pas au point du tout, étant un tracas logistique, sa spécificité antichar avec un pouvoir antipersonnel dérisoire... et le fait que 76,2 mm F34 était largement suffisant pour les chars allemands de l'époque ont fait que la stavka a mis fin à l'expérience... provisoirement...
L'arrivée du Tigre, puis du Panther ont vite concourut  à faire déterré le projet, car le canon Zis 2, amélioré depuis en Zis 4 (Grabin son concepteur ayant de lui-même poursuivi son développement), était plus que capable de prendre les fauves à partie... petit mais costaud et une cadence de tir diablement élevée !!!
D'autant plus, avec la version la plus aboutie le Zis 4 m qui bénéficiait de munition adapté (dont un obus sous-calibré à sabots détachables qui parcourait la bagatelle de 1200 m/s !!!). Mais même cause même effets: le joujou était très cher, contraintes qui donnait une durée de vie à quelques dizaines de coup au fut, et le fait que les premiers chars russe équipés d'un 85 mm commençait a arriver en ligne etc..., on fait que la version du char Zis 4 m fut encore plus éphémère... Il fut cependant largement déployé dans sa version tractée antichar. Cependant quelques 34 modèles 43 et un nombre inconnus de KV-1 en furent équipés pour la confrontation à Koursk.         
Un KV-1 modèle 42 équipé d'un Zis 4 m, mis hors de combat à Koursk, qui a réussi l'exploit d'escalader ce qui semble être un second KV.    Collection Gunner Vogt. 
Prises d'aération de la plage moteur, faites mains.
Le KV étant magnifique, a un souci mineur, les trappes moulées sont à l'envers, donc rebouchage des deux petites cavités qui correspondent au fixation des charnières et qui sont à l'opposé d'où elles devraient être, ensuite creusage d'autres dans la bonne position.
J'ai fait des anneaux de levage et remplacé le câble de maintient de la trappe moteur par une chaîne amovible.   
Les derniers détails de la plage arrière avec l'ajout de boulons de fixation des trappes (qui étaient à l'envers d'ailleurs).
Le masque du canon reçoit une bague en profilé 6 mm afin de pouvoir adapter le nouveau canon de diamètre inférieur. Découpe et placement du nouveau canon et visualisation, il faut dire que çà lui change radicalement ce canon long...
Voilà, avec les poulies de renvoie modèle tardif, et les axes des boites de transmission changés par des plus courts, pour y mettre enfin les barbotins métal. Toutes mes excuses Gunner mais cette photo, je n'ai pas arrivé à la rendre plus nette, malgré mon matériel....
Nouvelles photos de meilleure qualité, j'ai refait un truc qui me titillais, qui m'obsédais même: Ces "tranchées" hideuses autours des trappes du châssis, qui après vérifications, n'ont rien à faire là... La marque Hen Long passe certains détails à la trappe..., mais crée de toute pièce totalement incongrue, mais je me régale, c'est quand même plus rigolo et minutieux que de monter un char de la marque japonaise, qui n'est n'y parfais, ni trop basique, presque aseptisé.  
La suite avec la caisse à lot de bord, et les accroches de câble de remorquage. 
Voilà les fûts: Donc bidons, supports, sangles et attaches, 100% carte plastique et trychlo !. 
Derniers petits détails: Le panneau d'accès au frein de recul sur le masque du canon, la grille arrière faite maison.
La suite du programme, avec les soudures, le faisceau de câble de la sirène et du phare, le boîtier de répartition, la trappe du frein de recul refaite avec ses boulons, et la grille d'aération derrière la plage arrière. 
J'ai essayé l'aspect fonderie au cerne relief qui sert à mes soudures, technique développée par un ami Re tankiste: MIC... Que du bon, que des avantages: Que ce soit du côté pratique, prix, facilité d'emploi, plus la nocivité de l'acétone et du putty, lavable à l'eau en cas de loupé, sèche plus lentement donc meilleur travail dessus, et les bavures se grattent à la lame de cutter très facilement après dépose, ça accroche très bien après séchage complet ( prévu pour adhérer au verre à l'origine, s'accroche parfaitement bien sur le laiton du KV de MIC... bref que du bon !....
Voilà, les mitrailleuses DT scratchée à partir de celle de Hen Long en fibre optique, donc fonctionnelles, et le peaufinage de la fonderie.


"" La peinture du KV-1 ""
La peinture de base.
Le Shipping, il me reste plus qu'à faire le châssis.
Voilà la fin, il ne manque plus qu'à monter l'électro et partir à la conquête de St Laurent demain ?.




                                                                                  Gunner/Jean-Marie.






















































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