Le Mikoyan-Gourevitch MiG-17 "Fresco".
"" Ce n'était pas une extrapolation du MiG-15 ""
Mikoyan-Gourevitch MiG-17F de l'armée de l'air de Ceylan, photo prise en 1971.
Source: La célèbre revue japonaise Koku Fan année 1980.
Un bidon de 400 litres et le volet baissé sur un MiG-17 "Fresco" F.
Source des deux photos: La revue ABM Magazine n°10 de juin 1992.
Verrière avec rétroviseur et les fils explosifs, à gauche l'antenne VHF sur un MiG-17PF.
Source: La revue ABM Magazine n°10 de juin 1992.
Maquette Hobby Boss au 1/48. Référence : HB 8036.
Historique : Les deux premiers paragraphe de l'Encyclopédie de l'Aviation n°163 aux éditions Atlas 1985.
Avions de Combat d'aujourd'hui par Corrado Barbieri aux éditions Continalux Verlag.
La revue Aviation Magazine n°301 de juin 1960.
Réalisation de la maquette par le club Aero Maquette (52) France.
Les photos sont de l'exposition d'Amnéville (57) France.
Historique : Les observateurs ont eu souvent tendance à sous-estimer le rôle qu'a joué le MiG-17 pour ne voir en lui qu'une version améliorée du MiG-15 et un avion de transition. Pourtant, il semble que cet appareil ait fait l'objet d'une production plus importante que celle du MiG-15. En outre, sa carrière, aura été remarquablement longue.
Le MiG-17 représente, avec le MiG-15 et le MiG-21, la triade des chasseurs soviétiques de l'après-guerre les plus fortunés. Les sources officielles soviétiques, et des autres pays dans lesquels le dérivé du MiG-15 était produit sous licence, affirmaient qu'il s'agissait d'un appareil entièrement nouveau. En réalité, on peut parler à juste titre d'une version améliorée, dans la mesure où l'interchangeabilité des rôles entre le MiG-15 et le MiG-17 était extrême, et toute la partie antérieurs et centrale du fuselage restait presque identique.
Le chasseur fut projeté par le groupe de Mikoyan et Gourevitch, avec, pour but, l'élimination de certaines lacunes dans les performances du MiG-15 à vitesse transonique (supérieure à Mach 0,86). L'avion, projeté sous le sigle SI, présentait un fuselage alongé et plus étroit dans la partie postérieure, un plan vertical déplacé vers l'arrière, et surtout une aile modifiée, d'un profil plus mince et une flèche au bord d'entrée qui de 35° était passée à 45°. Le moteur était toujours un VK-1 de 2 700 kg de poussée, projeté par Vladimir Ya. Klimov sur la base du précédent RD-45 (Rolls-Royce "Nene".
Le chasseur fut projeté par le groupe de Mikoyan et Gourevitch, avec, pour but, l'élimination de certaines lacunes dans les performances du MiG-15 à vitesse transonique (supérieure à Mach 0,86). L'avion, projeté sous le sigle SI, présentait un fuselage alongé et plus étroit dans la partie postérieure, un plan vertical déplacé vers l'arrière, et surtout une aile modifiée, d'un profil plus mince et une flèche au bord d'entrée qui de 35° était passée à 45°. Le moteur était toujours un VK-1 de 2 700 kg de poussée, projeté par Vladimir Ya. Klimov sur la base du précédent RD-45 (Rolls-Royce "Nene".
Mikoyan-Gourevitch MiG-17F de l'armée de l'air de Ceylan, photo prise en 1971.
Source: La célèbre revue japonaise Koku Fan année 1980.
Légèrement plus gros que le "Derwent", le Rolls-Royce "Nene" de 1945 délibvrait 2 270 kg de poussée et fit autorité jusque vers 1952.
Source: L'Encyclopédie de l'Aviation aux éditions CIL Beaux Livres 1980.
Le premier vol eut lieu au mois de janvier 1950, avec le pilote d'essai Ivan T. Ivashenko, avant même que les MiG-15 ne fassent leur première apparition dans le conflit coréen, et au mois de février le prototype atteignit la vitesse du son en vol horizontal. Cette performance ne fut pas confirmée, dans la mesure où l'on conservait le doute d'une erreur de l'indicateur de vitesse relative; quoi qu'il en soit, les sources officielles affirmèrent que le premier supersonique soviétique, même s'il avait atteint la vitesse du son en piqué, avait été le La-176, au moins de janvier 1949.
Le chasseur fut construit comme MiG-17 (Fresco pour l'OTAN) sans modifications importantes. La première version de série, "Fresco" A, différait en effet du prototype uniquement par la présence d'une petite antenne dorsale, d'un correcteur directionnel, des freins aérodynamiques de dimensions supérieures, et un carénage qui contenait le manche à balai; sous les ailes, on pouvait appliquer deux réservoirs supplémentaires de 400 litres.
Malgré sa ressemblance assez poussée avec le Mikoyan-Gourevitch MiG-15, le prototype SI-01, qui se trouve à l'origine de la lignée des MiG-17, était à maints égards un avion nouveau. Il fut détruit dans un accident en mars 1950, mais la production en série put débuter dès l'année suivante.
Source: L'Encyclopédie de l'Aviation n°163 aux éditions Atlas 1985.
Le Lavotchkine La-176 se présentait comme une version agrandie du La-174. Il fut le premier chasseur soviétique à franchir le mur du son.
Source: Avions et Pilotes n°12 aux éditions Atlas 1989.
Pour l'histoire du Lavotchkine La-176 voir le blog en date du 10/12/2010.
Il semble que la première version de série ait été construite également dans la version nocturne MiG-17P "Fresco" B, avec un radar d'interception Izumrud (émeraude) et équipé d'un armement constitué de trois canons Nudelmann-Rikter NR-23 de 23 mm, mais cette information a toujours été considérée comme dénuée de fondement par les sources tchécoslovaques. La première version de grande série fut le MiG-17 F "Fresco" C équipé d'un moteur Klimov VK-1F doté d'une postcombustion plutôt rudimentaire, qui en portait la poussée à sec de 2 200 kg à 3 360 kg. La production du MiG-17 commença en 1953, et l'appareil enregistra la vitesse maximale remarquable de Mach 1,03. Extérieurement, il était reconnaissable grâce à ses freins aérodynamiques redessinés, et à la nouvelle forme de la tuyère d'éjection.
Un bidon de 400 litres et le volet baissé sur un MiG-17 "Fresco" F.
Source des deux photos: La revue ABM Magazine n°10 de juin 1992.
En même temps, on commença la production du chasseur nocturne MiG-17 PF "Fresco" D dont le nez avait été allongé d'une douzaine de centimètres pour pouvoir loger les nouveaux appareillages électroniques, tandis que le pare-brise était formé de quatre morceaux et non plus de trois, comme dans les appareils conventionnels. Le radar Izumrud conservait l'installation expérimentée déjà par le passé, toujours avec une antenne émettrice, située dans un compartiment de l'entrée d'air, et l'antenne réceptrice située dans un "bec" semblable à celui de l'F-86E Sabre américain. L'objectif de la ciné photo-mitrailleuse avait été déplacé et ne se trouvait plus sur le dos du nez, mais sur son côté droit.
Verrière avec rétroviseur et les fils explosifs, à gauche l'antenne VHF sur un MiG-17PF.
Source: La revue ABM Magazine n°10 de juin 1992.
Avec le déclin du canon, et selon la mode des années "50", la V-VS demanda une version uniquement équipée de missiles, et naquit ainsi le MiG-17PFU "Fresco" E, armé uniquement de quatre missiles air-air, à guide radar AA-3 "Alkali", qui fut produit en grand nombre d'exemplaires et demeura en service de première ligne chez la V-VS jusqu'en 1968.
Du point de vue pilotage, le MiG-17 était un excellent aéroplane et, après une accélération de 4 000 m avec postcombustion, on pouvait atteindre Mach 1,03 (1 211 km/h), tandis que sa limite maximale de vitesse en piqué état de Mach 1,3. Ses dons de grimpeur également étaient intéressants, et le MiG-17PF montait à 5 000 m en 2'54" (2'30" avec postcombustion), à 14 000 m en 17'30" (qui se réduisaient à 7'48" seulement à plein régime).
A partir de 1953, les MiG-17 commencèrent leur entrée en ligne dans l'aviation tchèque également (version "Fresco" D, portant le sigle S-104. La production de l'avion démarra également dans les établissements chinois de Shen-Yang, sous la dénomination de F-4, et la Pologne sous la dénomination de LIM-5P. L'industrie de ce pays étudia la version LIM-6, d'attaque au sol, avec une section alaire interne supérieure, qui permettait de contenir 800 litres de kérosène de plus, et le train d'atterrissage principal à double roue, capable d'opérer sur des pistes de gazon. Cette version fut construite en un nombre limité d'exemplaires, et on lui préféra le LIM-5M, à aile conventionnelle, parachute freinant, et systèmes de suspension pour les fusées RATOG.
Ces versions chasseur-bombardiers se répandirent assez rapidement, et un grand nombre de MiG-17F de jour ont été convertis en avions d'assaut pour tous les pays qui attendaient le Sukhoi Su-7 ou en n'avaient pas un nombre suffisant d'exemplaires.
Parmi les forces aériennes qui ont possédé le MiG-17 rappelons : Afghanistan, Algérie, Cambodge, Chine, Corée du Nord, Cuba, Egypte, Guinée, Iraq, Mali, Nigéria, Somalie, Syrie, Ouganda, Yémen du Nord et du Sud, Vietnam du Nord, URSS, Tchécoslovaquie, Pologne, Bulgarie, Allemagne de l'Est, Hongrie, Roumanie.
Contrairement à ce que l'on croit généralement, le MiG-17 n'est pas une simple extrapolation du MiG-15, mais un avion entièrement nouveau. Si on compare en effet ces deux types de chasseurs, on notera les différences suivantes :
1) La surface de la voilure a été sensiblement augmentée en "arrondissant largement les saumons de bout d'ailes, en augmentant la flèche au bord d'attaque de la partie médiane de la voilure, en rapportant à l’emplanture, une surface dont le bord de fuite est pratiquement perpendiculaire au fuselage. Ces trois modifications ont eu aussi pour résultat une diminution importante de l'épaisseur relative.
2) L'écoulement à l'extrados est régularisé par six cloisons (deux occupant toute la corde, une plus petite, à l'extérieur, alimentant l'aileron correspondant). Notons cependant que quelques-uns des premiers MiG-17 ne comportaient que quatre cloisons.
3) Le fuselage a été considérablement affiné.
4) Les antennes Pitot sont au nombre de deux (à chaque extrémité de la voilure) contre une pour le MiG-15.
5) Une importante quille apparaît sous la partie arrière du fuselage.
6) La forme des aéro-freins est modifiée. Leur vérin d'articulation est partiellement extérieur sous carénage.
7) La canopée est équipée, à sa partie supérieure, d'un rétroviseur caréné.
8) La dérive et le stabilo ont un plus grand allongement.
Étudions maintenant les cinq versions connues du MiG-17 qui a reçu le nom de code NATO de "Fresco".
-- "Fresco" A : Le type A est doté d'aérofreins strictement semblables à ceux du MiG-15. Son turboréacteur VK-1A de 3 170 kg n'est pas équipé de la post-combustion.
-- "Fresco" B : Le "Fresco" B est semblable au type A mais les aérofreins de forme rectangulaire, sont montés immédiatement à l'arrière du bord de fuite. Cette version n'est pas équipée de la post-combustion.
-- "Fresco" C : C'est la version la plus répandue. Les aéro-freins sont revenus à la partie arrière du fuselage. Le turboréacteur VK-1A est équipé d'une réchauffe qui porte la poussée à 3 920 kg.
-- "Fresco" D : Le "Fresco" D est la version de chasse tous temps du "Fresco" C. En conséquence, l'entrée d'air est modifiée par l'adjonction de deux radômes, l'un en "casquette" à la partie supérieure, l'autre, "en ogive", monté au centre de l'entrée d'air, sur la cloison médiane. La caméra se trouve reportée sur le flanc droit du fuselage.
-- "Fresco" E : Le "Fresco" E est semblable au "Fresco" D, mais il n'est pas équipé de la post-combustion.
Superbe gros plan du flanc droit d'un MiG-17 de l'Armée de l'Air Chinoise.
Source: La revue japonaise Koku Fan année 1980.
"" L'équipement électronique d'un MiG-17 ""
Parmi les forces aériennes qui ont possédé le MiG-17 rappelons : Afghanistan, Algérie, Cambodge, Chine, Corée du Nord, Cuba, Egypte, Guinée, Iraq, Mali, Nigéria, Somalie, Syrie, Ouganda, Yémen du Nord et du Sud, Vietnam du Nord, URSS, Tchécoslovaquie, Pologne, Bulgarie, Allemagne de l'Est, Hongrie, Roumanie.
"" Caractéristiques du MiG-17F "Fresco" C ""
Envergure : 9,60 m.
Longueur : 11,10 m.
Hauteur : 3,80 m.
Surface alaire : 22,6 m².
Poids à vide : 5 100 kg.
Poids total : 5 340 kg.
Poids maximal au décollage : 6 350 kg.
Moteur : Klimov VK-1F de 2 600 kgp (3 360 kgp avec postcombustion).
Vitesse maximale : 1 145 km/h à 3 000 m; 1 071 à 10 000 m.
Vitesse de croisière : 817 km/h.
Vitesse ascensionnelle initiale : 65 m/s.
Temps de montée à 5 000 m : 2'30".
Plafond pratique : 16 600 m.
Autonomie normale : 470-970 km.
Armement : 1 canon Nudelmann N-37 de 37 mm avec 40 coups et 2 Nudelman-Rikter NR-23 de 23 mm avec 80 coups par arme ou 3 NR-23 de 23 mm - 32 roquettes de 55 mm ou 2 roquettes de 210 mm ou 2 bombes de 250 kg.
Vue de l'arrière de l'appareil et la principale caractéristique extérieure qui différencie le Lim 6 et le MiG-17.
Les nomes de passages à basse altitude ne sont pas les mêmes dans tous les pays. C'est ce qu'il est convenu d'appeler du "radada"..!
Le poste de pilotage d'un Lim 6, dont vous pourrez également vous inspirez pour réaliser un MiG-17.
Source des trois photos: La revue Replic n°67 de mars 1997.
"" Les cinq versions du MiG ""
Source : La revue Aviation Magazine n°301 de juin 1960. Article de Jacques MARMAIN.
Contrairement à ce que l'on croit généralement, le MiG-17 n'est pas une simple extrapolation du MiG-15, mais un avion entièrement nouveau. Si on compare en effet ces deux types de chasseurs, on notera les différences suivantes :
1) La surface de la voilure a été sensiblement augmentée en "arrondissant largement les saumons de bout d'ailes, en augmentant la flèche au bord d'attaque de la partie médiane de la voilure, en rapportant à l’emplanture, une surface dont le bord de fuite est pratiquement perpendiculaire au fuselage. Ces trois modifications ont eu aussi pour résultat une diminution importante de l'épaisseur relative.
2) L'écoulement à l'extrados est régularisé par six cloisons (deux occupant toute la corde, une plus petite, à l'extérieur, alimentant l'aileron correspondant). Notons cependant que quelques-uns des premiers MiG-17 ne comportaient que quatre cloisons.
3) Le fuselage a été considérablement affiné.
4) Les antennes Pitot sont au nombre de deux (à chaque extrémité de la voilure) contre une pour le MiG-15.
5) Une importante quille apparaît sous la partie arrière du fuselage.
6) La forme des aéro-freins est modifiée. Leur vérin d'articulation est partiellement extérieur sous carénage.
7) La canopée est équipée, à sa partie supérieure, d'un rétroviseur caréné.
8) La dérive et le stabilo ont un plus grand allongement.
Étudions maintenant les cinq versions connues du MiG-17 qui a reçu le nom de code NATO de "Fresco".
-- "Fresco" A : Le type A est doté d'aérofreins strictement semblables à ceux du MiG-15. Son turboréacteur VK-1A de 3 170 kg n'est pas équipé de la post-combustion.
-- "Fresco" B : Le "Fresco" B est semblable au type A mais les aérofreins de forme rectangulaire, sont montés immédiatement à l'arrière du bord de fuite. Cette version n'est pas équipée de la post-combustion.
-- "Fresco" C : C'est la version la plus répandue. Les aéro-freins sont revenus à la partie arrière du fuselage. Le turboréacteur VK-1A est équipé d'une réchauffe qui porte la poussée à 3 920 kg.
-- "Fresco" D : Le "Fresco" D est la version de chasse tous temps du "Fresco" C. En conséquence, l'entrée d'air est modifiée par l'adjonction de deux radômes, l'un en "casquette" à la partie supérieure, l'autre, "en ogive", monté au centre de l'entrée d'air, sur la cloison médiane. La caméra se trouve reportée sur le flanc droit du fuselage.
-- "Fresco" E : Le "Fresco" E est semblable au "Fresco" D, mais il n'est pas équipé de la post-combustion.
Superbe gros plan du flanc droit d'un MiG-17 de l'Armée de l'Air Chinoise.
Source: La revue japonaise Koku Fan année 1980.
"" L'équipement électronique d'un MiG-17 ""
Il est, en gros, semblable à celui du MiG-15 bis, soit : un VHF du type RSIU-3M ou 4M, un radio-compas ARK-5, un radio altimètre RV-10, un récepteur de balises MRP-48P, un répondeur IFF du type SRO.
Les "Fresco" D et E sont équipés d'un radar d'interception et de tir du type RP. Ce radar a reçu le nom de code NATO de "Scan Odd". En voici quelques caractéristiques inédites : autonomie de recherche : 11 km pour un bombardier moyen; précision en distance : plus ou moins 9 mètres; précision en azimut : 2°30" à 450 mètres.
"" Caractéristiques (d'après la revue allemande "Flügel der Heimat") ""
Envergure : 10,56 m.
Longueur : 11,09 m.
Poids à vide : 3 850 kg.
Poids total en charge : 6 750 kg.
Performances : (d'après les sources Aviation Magazine), sans P.C., sans réservoirs supplémentaires :
Vitesse maximale à 12 250 m : 960 km/h.
Rayon d'action : 472 km.
Distance franchissable : 1 100 km.
Plafond opérationnel : 16 200 m.
Temps de montée : 9 minutes.
Sans P.C., avec réservoirs supplémentaires :
Vitesse maximale à 12 500 m : 960 km/h.
Rayon d'action : 740 km.
Distance franchissable : 1 600 km.
Plafond opérationnel : 15 250 m.
Avec P.C., sans réservoirs supplémentaires :
Vitesse maximale à 15 250 m : 1037 km/h.
Rayon d'action : 352 km.
Distance franchissable : 815 km.
Plafond opérationnel : 17 700 m.
Temps de montée à 15 520 m : 5 mn.
Avec P.C., avec deux réservoirs supplémentaires de 400 litres :
Vitesse maximale à 150250 m : 1 037 km/h.
Rayon d'action : 852 km.
Distance franchissable : 1 862 km.
Plafond opérationnel : 16 800 m.
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