Le char M4A1 Sherman.






"" On le trouva sur tous les fronts ""
Maquette Italeri au 1/35.  Référence n°225.




Historique : Une partie de cet historique provient de la revue Connaissance de l'Histoire n°43 de février 1982.



Mon ami belge J...n Z.....y, a réalisé un Sherman ayant séjourné longtemps dans l'eau de mer.



Historique : Les succès obtenus par les Panzer finirent par convaincre une armée américaine peu enthousiaste que le char jouait un rôle efficace dans la guerre moderne.
Au cours des deux guerres mondiales, le développement des chars américains passa au combat à un petit nombre de types d'engins d'une grande fiabilité, dont la production dépassa en quantité celle de tous les autres pays. La première guerre mondiale vit les unités américaines entièrement équipées de modèles étrangers; durant la seconde guerre mondiale les armées alliées (y compris une partie de l'armée russe) furent esse,essentiellement équipées d'engins blindés américains de tous types.
Aux Etats-Unis pourtant, la continuité dans le développement de l'arme blindée entre les deux conflits avait été encore plus modeste que dans tous les autres pays constructeurs de chars. L'isolationnisme, et les rigueurs des restrictions du budget militaire en temps de paix, imposèrent à l'armée américaine de se limiter sans cesse au strict minimum indispensable. Il ne fut pas question d'innovations radicales et onéreuses jusqu'au jour où une situation de crise immédiate les rendit indispensables, sans aucune autre possibilité.

Un Sherman du musée des Zeppelin (Danemark)     Collection Alain BERTINI.


"" La genèse du Sherman ""
En 1940, le char de 23 tonnes qui existait, le M2A1 de 1939 à canon de 37 mm et blindage de 25 mm ne répondait plus aux spécifications fixées par Adna R. Chaffee pour un char armé d'un canon polyvalent. Les chars légers M214, avec leur mitrailleuse de 12,7 mm pour tout armement, avaient, quant à eux, un puissance de feu dérisoire.
La connaissance des caractéristiques des chars allemands et la perception du fait que l'épaisseur du blindage ainsi que le calibre du canon avaient déjà tendance à augmenter, imposèrent la nécessité de construire un char moyen pouvant rivaliser avec les chars allemands en 1941.
Un engin de cette sorte pouvait être réalisé dans les temps requis en utilisant les composants existants mais il lui manquait un élément essentiel : pour la mise au point d'une tourelle tous azimuts, pouvant recevoir le canon de 75 mm, il fallait six mois. Aussi, une solution "intérimaire" fut-elle définie par un cahier des charges datant d'août 1940; elle vit le jour à l'état de prototype en janvier 1941, et fut mise en fabrication dans trois usines sous l'appellation M3 au mois d'août de la même année. 
La campagne de Guadalcanal vit de petites quantités de chars légers M214 utilisés par les Marines américains. Ce char était dérivé du M2A3 mais sa double tourelle avait été remplacée par une tourelle simple abritant un canon de 37 mm. L'arrière de la tourelle abrite également une mitrailleuse de 7,62 mm.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°43 de février 1982 aux éditions Hachette. 
Le char moyen M3A4 à moteur Chrysler, les autres M3 étant équipés de moteur Continental ou General Motors. Le Chrysler était constitué de cinq moteurs d'automobiles reliés au même vilebrequin pour développer 370 ch à 2400 tours/minute.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°43 de février 1982 aux éditions Hachette.

Malgré toutes les difficultés rencontrées, ce char de 26 tonnes (connu des Britanniques sous le nom de General Lee et, sous la forme modifiée qu'ils avaient demandée, sous celui de General Grant), avec son canon de 75 mm à débattement horizontal limité logé bas dans une saillie de caisse, aurait été à quelques restrictions tactiques près, un rival pour les chars allemands de cette année-là s'il avait dû les affronter. Un blindage de 57 mm était acceptable, un canon de 37 mm (stabilisé en hauteur) dans une tourelle rotative perchée au sommet d'une haute caisse valaient mieux que rien, et l'obus explosif tiré par le 75 de caisse pouvait venir à bout des canons antichars ennemis et (surtout) des canons bivalents allemands de 88 mm à la haute silhouette qui causaient tant de dégâts.
Bientôt, en septembre 1942, le M3 fut suivi du plus prolifique de tous les chars américains : le M4 (connu sous le nom de General Sherman). Dans une multitude de variantes, celui-ci devait servir durant toute la guerre et dans les conflits des années 1970. Utilisant un grand nombre des composants très fiables adoptés avant la guerre, ce char se caractérisa par le nombre des modèles de moteurs différents qui équipèrent ses différentes versions. Outre le bon moteur en étoile Wright, il devait recevoir le Ford de 450 ch, un remarquable Chrysler en étoile à cinq rangs de 6 cylindres, qui développait, avec ses 30 cylindres, une puissance de 425 ch, et un jumelage très réussi de deux moteurs GMC diesel de 187,5 ch, ce dernier étant de loin le favori des équipages car il réduisait le risque d'incendie et augmentait la fiabilité. De plus, le Sherman polyvalent avec son canon de 75 mm (stabilité en hauteur) dans une tourelle tous azimuts (la première à équiper les chars américains) et ses 76 mm de blindage soudé, pouvait s'en tirer face aux Panzer III et IV allemands de 1942 et durant la plus grande partie de 1943. Le moment venu, le Sherman se révéla apte à être revalorisé par l'adoption du canon de 76 mm long américain ou du 17 pounder britannique, en 1944, pour faire face aux Tigre et Phanther allemands.    
Élément majeur des forces blindées alliées à la fin de la guerre dudésert : le "Sherman".
Source: La revue blindés 1939-1945 aux éditions Hachette.
 
La campagne des Balkans et spécialement ce qui fut appelé" l'opération Barbarossa" (l'invasion de l'Union Soviétique en 1943, sur cette photo deux Panzers III, on peut ainsi apprécier le camouflage hivernal de ces blindés.
Source: Fascicule n°1 des véhicules militaires aux éditions Eagle Moss.
Putanges - 20 août 1944. Lors de la retraite allemande, un Panzer IV a terminé sa course dans une vitrine.
Source: La revue Histoire et Maquettisme n°63 de juillet/août 1999.

Le Tigre I du musée des blindés de Saumur, vue 3/4 avant gauche.
Source: La revue ABM Magazine n°2 de juin 1990.

Cette très intéressante photo nous montre un des six "Befehlspanther" qui équipaient théoriquement le Panzerregiment 44. Le char de commandement est identifiable à ses antennes supplémentaires, dont une antenne multibrins à l'arrière de la caisse. Il s'agit ici d'un type A. L'engin porte les traces d'un engagement brutal : plus de jupes latérales; la paroi arrière supérieure de la caisse, derrière laquelle se trouvent des réservoirs de carburant, porte des traces d'impacts, un des coffres pour paquetage arrière a été arraché, l'autre a perdu son couvercle. (photo Bundesarchiv).
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°56 de mai 1983 aux éditions Hachette.


"" Une réussite, un échec ""
Au même moment  les Américains produisirent deux chars légers à tourelle, tous deux armés d'un canon de 37 mm. Le premier fut une réussite : le M3 (General Stuart pour les Britanniques) adopté en août 1941, qui devait être construit jusqu'à la fin de la guerre pour constituer le char de reconnaissance des divisions blindés américaines.
L'autre fut le M22 ou Locust (sauterelle) de 7 tonnes, destiné aux troupes aéroportées.
Sa fabrication fut lancée à la fin de 1941, mais il ne joua qu'un rôle très réduit car les Américains ne réussirent pas à construire un avion capable de le transporter. En fait, seuls les britanniques furent capables aérotransporté sur le champ de bataille quelques-une de ces chars légers à bord de leur grands planeurs Hamilcar, à l'occasion du franchisse/ment du Rhin en mars 1945.  
General Aircraft Hamilcar
Type :planeur transporteur de personnel et de chars.
Moteurs : (Mark X) : deux Bristol Mercury 31, radiaux de 965 cv.
Envergure : 33,5 m Longueur : 20,7 m Hauteur : 6,2 m.
Vitesse de remorquage : 241 km/h.
Capacité de remorquage : un char de 7 tonnes ou le poids équivalent en personnel ou en matériel.
Poids à vide : 8 845 kg.
Poids en charge : 16 783 kg.
Le Hamilcar fut conçu pour le transport de chars légers afin de procurer un appui blindé aux troupes aéroportés et fut utilisé le Jour J du débarquement pour la première fois dans ce rôle. On en construisit environ 390 exemplaires.
La Mark X, qui était pourvu de moteurs, avait une vitesse de 233 km/h et une autonomie de 2 696 km, mais on n'en construisit que 20 exemplaires.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°23 d'avril 1980 aux éditions Hachette.


Considérant l'avenir, en mai 1942, les Américains jugèrent à juste titre que le Sherman n'allait probablement pas conserver, en 1943, la marge de supériorité dont il bénéficiait encore. Aussi commencèrent-ils à étudier le projet de son successeur. Le T20, avec sa masse de 30 tonnes, avait besoin d'être équipé d'une suspension à ressorts plus puissants que sur les versions précédente. En même temps on lui demandait une meilleure capacité en tous-terrains. Son blindage devait être plus épais que celui du Sherman mais sa silhouette était plus basse tandis que sa tourelle était armée d'un canon de 90 mm. Mais le dialogue entre les unités du champ de bataille d'une part et l'état-major de l'armée de terre et les constructeurs en Amérique d'autre part, conduisit à une mauvaise appréciation de la situation. On prétendit que le Sherman pouvait être amélioré sur le plan du blindage, de l'armement et de la suspension pour prolonger sa durée de vie, ce qui rendait le T20 inutile. Cette solution était censée entraîner beaucoup moins de perturbation car il ne serait pas nécessaire de renouveler les chaînes de fabrication. La quantité, estimait-on dans certains milieux, était préférable à une si modeste amélioration des qualités tactiques. Aussi le projet de T20 fut-il abandonné après juin 1943, et le Sherman fut amélioré. Les Panzer de 1944 profitèrent de l'aubaine que constituaient pour eux ces adversaires surclassés. 
Ce Sherman M4A1 dernier modèle porte l'étoile et la bande blanche qui apparurent pour la première fois en 1942.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°43 de février 1982 aux éditions Hachette.


La production de chars américains était réellement colossale, 28 919 chars légers, 57 027 chars moyens et 2 300 chars lourds.
Mais le sentiment d'être nettement surclassés techniquement avait un effet désastreux sur le moral des équipages, outre que cet état de choses engendre de lourdes pertes en vies humaines et réduit l'efficacité opérationnelle à un niveau inacceptable.
Un blindage de 100 mm était trop mince et le canon de 76 mm, une fois installé sur le Sherman M4A3 E8, se révéla insuffisant. La nécessité d'un nouveau char moyen armé d'un canon d'au moins 90 mm devint impérative. Même en admettant que le stockage humide des munitions sur le Sherman réduisait le risque d'incendie, la valeur opérationnelle du char dans son ensemble devenait de plus en plus insuffisante. On exhuma à la hâte un descendant du T20 tandis que les travaux reprenait à la demande expresse en provenance d'Europe du général Dwight D. Eisenhower.
Mais seul le nouveau char moyen sortit à temps pour participer aux dernières campagnes, à partir de février 1945. Ce fut le M26 (General Pershing), armé d'un canon de 90 mm, dont le blindage atteignait 145 mm par endroits. Classé comme char lourd à l'origine, il était en fait, avec ses 38 tonnes, bien dans les limites de la catégorie des chars moyens, surtout à un moment où les chars lourds allemands dépassaient les 60 tonnes. 
Depuis le jour J les Américains savaient que la puissance de feu des Sherman M4 était insuffisante. Des essais furent effectiés sur la série de chars T26E. Le modèle de série davint le T26E3 Pershing, armé d'un T7 de 90 mm (M3) sur affût T99.
Source: La revue Connaissance de l'histoire n°43 de février 1982 aux éditions Hachette.  
Pershing M26
Longueur : 8,50 m.
Largeur : 2,81 m.
Poids : 41,73 tonnes.
Garde au sol : 43,50 cm.
Equipage : 5 hommes.
Moteurs : Ford GAF V8, 2500 tours/minute, 500 ch.
Vitesse maximum : 48 km/heure.
Autonomie : de 96 à 160 km.
Armement : canon L/53 M3 de 90 mm sous tourelle T99E2; deux mitrailleuses Browning de 12,7 mm.
Blidage : de 50,_à à 101,60 mm.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°43 de février 1982 aux éditions Hachette.
Magnifique maquette du T26 Pershing de Stéphane Janiec.      Collection personnelle.
Le T26 Pershing du musée des Blindés à Saumur.     Collection personnelle.

"" Un apprentissage sur le tas ""
Les diverses fortunes de guerre des formations blindées américaines ne reflétèrent pas nécessairement les qualités ou les défauts de leur matériel.
Au cours d'escarmouches isolées contre les Japonais, en 1941 et 1942, une poignée de chars légers d'avant-guerre n'obtinrent que peu de résultats lors d'engagements sporadiques. Plus tard, dans le Pacifique, les chars furent exclusivement employés dans le rôle d'appui de l'infanterie et de destruction de fortifications, et rarement opposés à des engins blindés japonais. Lors du baptême du feu des premières et deuxième divisions blindées américaines, mises sur pied dans le cadre de la création de la force blindée, elles furent malheureusement opposées en Tunisie à trois divisions de Panzer très expérimentées. Le désastre de Kasserine, en février 1943, où les deux tiers de la première division blindée furent anéantis en quelques heures, sanctionna l'insuffisante du commandement et inadaptation de de l'entraînement plutôt qu'une infériorité technique. Pourtant, avant la fin de la campagne de Tunisie, en mai, tout indiquait que les éléments aguerris de la force blindée avaient appris leur leçon et pouvaient rivaliser avec leurs adversaires.
Les unités blindées grandes et petites recevaient leur instruction initiale aux Etats-Unis, puis elles étaient transportées outre-mer pour prendre part à la campagne en Europe, de la Sicile vers le nord et plus tard des plages de Normandie vers les plaines d'Allemagne. Elles eurent beaucoup à apprendre par elles-mêmes. Entre temps la division blindée et les bataillons blindés du début s'étaient multipliés pour former une masse de 16 divisions blindées, plus 65 bataillons de chars non endivisionnés et 28 régiments de reconnaissance auxquels s'ajoutaient d'autres unités blindées de moindre importance, avec un vaste complexe d'instruction. De toute évidence, l'encadrement initial ne suffisait plus. Aussi l'instruction était-elle dispensée principalement à base de manuels, puis confirmée par une expérience personnelle, souvent amère, acquise dans des combats meurtriers. Mais il faut dire que la tactique des Américains, comme celle des Russes, reposait davantage sur l'effet de masse que sur la finesse et l'habilité, et que la médiocre qualité des instruments d'optique gênait les tireurs pour faire bon usage de leurs canons quels qu'ils fussent. Cependant, lorsque les alliés furent près à débarquer en Normandie, une force blindée américaine aguerrie existait réellement.    
Écorché du Sherman M4. Source: Connaissance de l'Histoire n°39 d'octobre 1981 aux éditons Hachette.


Le char était désormais reconnu comme l'élément essentiel de toute opération, encore qu'il existât parfois certaines réticences à l'utiliser dans son rôle spécifique, comme l'avaient admis les Britanniques. Un exemple : bien qu'ils eussent fabriqué eux-mêmes des chars spéciaux, démineurs (à fléaux) ou lance-flammes, les Américains déclinèrent l'offre des Britanniques de différentes versions spécialement développées pour le franchissement du Mur de l'Atlantique. Ils refusèrent les chars à fléaux, les véhicules blindés du génie d'assaut et les engins de franchissement, n'acceptant que des chars destroyers amphibies. Cette décision devait leur coûter cher le jour J à Omaha Beach, où les véhicules blindés du génie britannique et les fléaux leur auraient rendu des services inestimables. Plus tard, confrontés à la difficulté de se forcer le passage à travers les haies épaisses du bocage de Normandie, les Américains improvisèrent sur place un appareil à lames tranchantes, le Rhino, qui permettait à un Sherman de pratiquer une brèche dans une haie ou dans un talus.


"" Une force éprouvée attachée à son origine ""
Toutes les grandes unités de chars américaines qui ouvrirent la voie à l'invasion de l'Allemagne en 1945 faisaient partie d'une force sûre d'elle-même et bien instruite, équipée d'un matériel qui commençait à pouvoir rivaliser en qualité avec celui de l'adversaire. Le système de commandement et de contrôle, adopté pour la première fois en 1940, avait prouvé sa valeur en mettant l'accent sur la coopération de toutes les armes, les chars, l'infanterie et l'artillerie, dans toutes les formes d'opération.
Chars Sherman progressant avec l'infanterie. Pendant la bataille de Normandie, l'emploi des chars en soutien d'infanterie rappelant les méthodes de la première guerre mondiale fut assez fréquent.
Source: La revue Connaissance de l'Histoire n°-- de 1979 aux éditions Hachette.

Le Pershing M26 peut être consdéré comme l'ancêtre des chars moyens en service jusqu'à ce jour, tandis que le rapide char léger Chaffee M24, encore utilisé dans le monde entier, entra en service en juillet 1944. Armé d'un canon de 75 mm, il devait se révéler sensiblement supérieur à ses prédécesseurs. Un char lourd pesant 84 tonnes, le T28, avec un canon de 105 à grande vitesse initiale, était en cours de fabrication vers la fin de la guerre, mais aucun exemplaire n'y fut engagé car il arrivait trop tard.
De toute façon, il eut été difficile à déployer sur le champ de bataille, car les opérations entraient dans leur phase finale de poursuite lointaine à la manière de la cavalerie d'autrefois.
En dernière analyse, la force blindée américaine s'est toujours inspirée de sa cavalerie et elle est restée, depuis, fermement attachée à cette tradition.

M-24 Chaffee britannique exposé au Royal Armoured Corps Tank; Museum de Bovington (Dorset, GB). Le char est entièrement peint vert sombre (Deep bronze green, peinture Humbrol HP4).
Source: La revue MPM Maquettes Plastique Magazine n°74 de juillet/août 1977.

Char américain super lourd T 28
Ce chasseur de char à l'épais blindage et puissamment armé visait à surclasser les matériels allemands correspondants. Mais il eût été trop peu mobile pour être efficacement utilisable dans les opérations offensives.
Poids : 75 tonnes.
Moteur : 350 ch.
Blindage : 105 mm.
Vitesse : 16 km/h.
Armement : canon de 105 et 3 mitrailleuses.
Source: Les Armes Secrètes Alliées, collection les documents n°7 aux éditions Hachette.


"" Quand la mer fait son oeuvre ""
Voici les quelques mots de J...n au sujet de son diorama.

Cette petite scène qui pourrait se passer sur une île du Pacifique, nous montre un Sherman abandonné qui aurait 70 ans dans l'eau et qui attire deux surfeurs curieux de découvrir une telle épave.
Le Sherman est une vieille référence Italeri au 1/35 qui était dépareillée dans la boîte à rabiot, les pick-up de chez Meng.
Le diorama n'a aucune valeur concours ou exposition, c'est simplement un test que j'ai fait pour réaliser de la rouille.

"" En effet voici les photos, bravo J...n ""


 

 


J...n/Jean-Marie



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

L'histoire du Nord 2500 Noratlas.

Le Bréguet Br 1050 "Alizé"

Le Marcel Dassault Mirage IV A

La grande histoire des "Mistel" et composites.

Messerschmitt Bf 109 Z "Zwilling"

Le lanceur R7 Semiorka

L'histoire du Marcel Dassault "Mirage 2000".

S.N.C.A.S.O SO-4050 Vautour II A

Les engins de chantier POCLAIN et LIEBHERR.

Latécoère Laté.631.